..un feu de sarment vert, dont il en reste les morceaux de charbon un peu humide !
L’écorce de sapin, un soupson de séve se révèle, la cire d’abeille, les tanins boisés de l’épineux et avec une finalité tout en fraicheur comme un bonbon des vosges, fondant sur la langue.
Souple et gourmand malgré les 47°, sa douce note fumée reste flâteuse, savoureuse et procure une belle longueur.
At long last, un premier « Torfig », il fallait l’attendre !